L’après communication

2010
03.26

L'après communication de Dominique Annet La communication classique se heurte aujourd’hui à ses propres murs : ceux de la modernité, de la complication, de la fin du paradigme de la société industrielle.
Conçue comme un outil de transmission et de régulation, elle n’est désormais plus à même de donner la réplique. Et la publicité, sa fille la plus indigne, se meurt. Parce que le monde a changé, parce que l’économie se dématérialise, parce que tout devient plus complexe et incertain, l’entreprise et la société questionnent : « Comment mieux fonctionner ? Comment attirer et fidéliser clients, fournisseurs, citoyens, actionnaires et personnels ? Comment créer et préserver l’adhésion ? » Aujourd’hui, sur le terrain, nous devons trouver de nouvelles manières de répondre aux attentes des personnes, des communautés et des organisations.
Cet ouvrage veut aider à comprendre l’impasse actuelle de la communication et de la publicité mais surtout initier l’après communication, ce que l’auteure nomme  » Syntonie « , l’accord parfait. Dans le contexte émergent de la société de la connaissance, il s’agit de faire vibrer, de générer et de valoriser du lien. Facile à dire ! Et à faire ? Dominique Annet propose une démarche nouvelle, une méthode, une boîte à outils mieux adaptée au siècle naissant.
Un palier de plus est franchi, au-delà de la communication.

Source : www.decitre.fr/

A vous la parole :

On dit que l’on assiste aujourd’hui à l’émergence d’une nouvelle ère de la communication. La publicité traditionnelle se meurt, la parole est aux internautes et aux consommateurs, il faut créer du lien. Et vous, qu’en pensez-vous ?

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One Response to “L’après communication”

  1. Mathieu dit :

    Annoncer la mort de la publicité traditionnelle est un peu précipité. Par contre, je rejoins l’idée qu’il y a un changement. Sûrement provoqué par l’Internet ?
    On remarque (par exemple) que dans les pubs à la TV, on commence à faire de l’auto-dérision sur les anciennes pub : la pub pour le dentifrice E.Leclerc par exemple, où l’on rigole gentiment des anciennes pubs « sourire Colgate ».

    Il ne suffit plus à une marque de dire dans une pub : « mon produit, c’est le meilleur », il faut apporter un « plus » et donner une valeur attachante. Exemple : le dentifrice sans emballage de l’E.Leclerc, Free et les cretins.fr, ou Intermarché et les producteurs locaux.

    Oui, il y a un changement, mais non, la pub traditionnelle a encore de beaux jours devant elle…

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